Soline - Géographie Intérieure

Il veut vivre, jouer, pleurer, rire, et se faire des amis...



Petite main cousue
remplie ensuite de fibres creuses.
(On en trouve dans les vieux oreillers).

Poignet serré avec une ficelle et de la colle au pistolet,
sur un bambou.




La robe est facile à faire.
Sur une base ordinaire d'un tissu quelconque,
on pourra décorer et habiller le personnage
avec toute la créativité nécessaire.





Ici, la robe d'un pauvre paysan
n'a pas beaucoup de fantaisies,
mais une poche devant, visible,
bien utile pour le spectacle.



Pour le petit chapeau, un cône en carton
 recouvert de toile de jute
 et bordé de biais noir.






Juste un trou pour le cou,
qu'on peut habiller ensuite comme on veut.
Il ne reste plus qu'à l'enfiler.


Li répète son rôle : Le Ciel me parle ce matin,
il me dit : "mon pauvre Li, tu n'es qu'un paysan
mais le plus beau tableau du monde t'appartient !"



Les deux bras sont assemblés
sur un manche à balai
coupé à la hauteur la plus confortable
pour les manipulations, ficelés et collés.




On laisse dépasser la hauteur de cou nécessaire
pour y mettre la tête.




Pour que la tête soit souple sur son cou et donne l'illusion du mouvement, elle est montée sur une tige de plastique armée (trouvée dans un vide-grenier) elle-même collée au manche à balai. (Il y a du jeu entre les deux parties du corps). C'est moins solide que de l'enfiler directement mais pour un personnage principal, c'est mieux. Il aura l'air plus vivant.
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